Ce poème, comme d'autres de la même série que je nomme "images lentes" tente de concilier le mobile et l'immobile, l'identique et le différent, l'image fixe et le film. Certains y voudront voir "comme une peinture...". Idéalement, il devrait être présenté (L'interface "souris" étant alors remplacée par un quelconque capteur d'événements : lumière, son, mouvements etc.) sur un écran mural extraplat peu importe dans quel contexte : domestique, privé, institutionnel etc.

J'ai écrit ce programme afin de permettre une vision sous différents formats et diverses machines, Mac ou PC. Sur certaines d'entre elles cependant il est possible que la différence entre le "click" et le "doubleclick" ne soit pas exploitable; je le regrette: cette différence conditionne le choix offert au lecteur de procéder à des captures et à des impressions d'écran quand le "doubleclick" intervient, choix qui fait évidemment partie du poème tel que je l'ai conçu et de son sens.

Ph. Castellin